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RECHERCHES SPELEOS / ARCHEOS 17

 

 

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Bloc gravé de la GROTTE DU TRIANGLE

( par Thierry LE ROUX et Yves OLIVET )

 

 

(c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux

 


 

1°/ DESCRIPTION DE LA GROTTE DU TRIANGLE

Cette cavité, qui regarde vers le Nord-Ouest, se compose d’une galerie longue de 8 m et large de 3 m en moyenne. Le porche devait s'avancer au plus près de la vallée comme en témoigne un plan de cassure franche précédé par une vaste zone d’effondrement. Une portion de la grotte reste encore accessible sous ce seuil d'éboulis.

La genèse de cette cavité apparaît tributaire d’une petite diaclase trahie par un chenal de voûte et d’un joint de stratification décelable à l’interface de deux niveaux calcaires de texture différente. Les parois présentent un revêtement de calcite grisâtre très ancienne formant localement quelques coulées et draperies dégradées ainsi que quelques concrétions coralliformes.

Un pierrier s’amoncelle contre la paroi de droite. Une chatière désobstruée donne accès à un évasement transversal bloqué, sur la gauche, par une trémie rocheuse. Un laminoir prolonge, sur quelques mètres l’axe principal. Mais le plancher consiste en de volumineuses dalles difficiles à déblayer en rampant !

 

(c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux

 

2°/ HISTORIQUE DES EXPLORATIONS

Le 8 août 2005, Yves OLIVET et Thierry LE ROUX se mettent en quête d'une grotte repérée une quinzaine d'années plus tôt … Les lieux ont beaucoup changé depuis la « tempête du siècle » (arbres abattus, ronciers, etc …) et la prospection n’aboutit pas. Une cavité voisine est néanmoins découverte et, après désobstruction, livre une quinzaine de mètres de galeries vierges et quelques tessons de poteries. Elle constitue un "lambeau" du réseau karstique fossile auquel appartient la grotte recherchée, réseau à la fois démantelé et partiellement comblé dans cette zone aval d'émergence.

Le mercredi 5 octobre, Thierry LE ROUX et Yves OLIVET retrouvent la caverne. Ils mettent en évidence la présence diversifiée d’ossements, de dents, et d’éclats de silex, tant dans la galerie principale que derrière l’étroiture terminale, ainsi que dans un couloir s’ouvrant sous le chaos frontal. La chatière est franchie, la trémie rocheuse et le laminoir qui lui font suite inspectés. Une topographie de la cavité est levée. L’examen du pierrier révèle l’existence d’une gravure sur une plaquette, de courts tracés et de possibles traces de pigments sur d'autres blocs.

 

 

3°/ OSSEMENTS ET OUTILLAGE

Tout le matériel observé ( à la faveur d'une désobstruction et d'un ramassage de surface ) se situe dans un contexte dérangé, remanié dans sa partie superficielle, situation imputable à une fréquentation animale et humaine. Les lieux semblent cependant épargnés par le pillage. Il faudrait vraisemblablement abaisser le remplissage d'au moins deux mètres pour espérer disposer d'une stratigraphie en place.


- LITHIQUE :

Un petit biface archaïque (tant dans sa forme que dans sa finition), un éclat levallois et quelques éclats épais sans retouches pourraient être rattachés au Moustérien. D'autre part, plusieurs éclats laminaires fins font référence au Paléolithique supérieur sans plus de précisions. Ce mobilier reste toutefois trop restreint pour étayer toute hypothèse. En voici l'énumération :

Mobilier inventorié :

-1 plaque calcaire gravée,
-2 gros blocs portant deux courts tracés curvilignes
d’origine anthropique,
-1 nucléus avec cortex,
-1 éclat levallois ( 4,5 cm sur 5 cm ),
-1 petit biface ( 6 cm sur 5,5 cm dans sa partie large ),
-5 éclats laminaires dont 4 avec cortex ainsi répartis :
. 1 éclat laminaire très fin ( long. = 5 cm / larg. =1,4 cm),
. 1 éclat laminaire en pointe ( long. = 5 cm / larg. = 1,5 cm),
. 1 éclat laminaire de couleur noire ( long. = 5 cm / larg. = 3 cm)
avec cortex sur tout un côté longitudinal,
. 2 petits éclats de 2 cm de long,
-4 éclats épais dont 1 avec cortex,
-1 éclat épais en forme de croissant présentant une face
tranchante avec des traces d’usure (utilisation).
Longueur = 7 cm / largeur = 3 cm / épaisseur = 2 cm,
-5 éclats divers dont 4 avec cortex,
-3 éclats ayant subi le feu,
-2 petits blocs de conglomérat argilo-calcaire et de silex,
ce ciment intégrant de fins morceaux de charbon de bois
( témoins d’ancien foyer ? ).



Les variétés de silex sont homogènes avec celles rencontrées sur le plateau sur-jacent : toutes les couleurs représentées (blanc, bleu, gris, noir) sont communes aux strates de cette zone qui livre, après chaque labour, de nombreux outils et éclats, du Moustérien au Néolithique ...

Seul un sondage pourrait confirmer une occupation humaine préhistorique, notamment au niveau du chaos d'entrée qui résulte de l'effondrement d'un vaste "auvent" initial.

 

(c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux

 

(c) Thierry Le Roux

 

 

A ce mobilier essentiellement préhistorique viennent s'ajouter quelques morceaux de céramique historique en moindre quantité ( 3 tessons ).


 

(c) Thierry Le Roux

 

- OSSEMENTS ET DENTS :

Il a également été découvert une quantité importante d'ossements et de dents, à la faveur d'un ramassage visuel (masse osseuse : 2 kg environ). On ne peut exclure l'origine d'une tanière ( hyène ? ) mais on notera l'absence de traces de morsures. Ossements et dents correspondent à une faune pléistocène : hyène, cheval en grande quantité, renne, bovinés, renard. Un fémur et un métacarpe humains ont également été recueillis.



 

(c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux

 

 

 

4°/ LA PLAQUETTE GRAVEE.

 

(C) Le Roux 2005

 

Ce bloc fut découvert, par Thierry LE ROUX et Yves OLIVET lors du dégagement de l’extrémité du pierrier amoncelé contre la paroi Ouest de la grotte, opération destinée à faciliter l’accès au passage bas terminal.

Il mesure 260 mm sur 255 mm. La prise en compte de toutes les arêtes détermine un contour grossièrement hexagonal. Mais la forme d’ensemble peut également se définir comme celle d’un quadrilatère affecté de cassures sur ses deux coins supérieurs gauche et droit. L’épaisseur du bloc varie de 50 à 60 mm.

Cette plaquette est constituée d’un calcaire graveleux blanc-ocre du Coniacien provenant de la formation dans laquelle se développe la cavité. La face gravée offre une surface lisse, érodée, avec mise en relief de petits éléments fossiles insolubles. Cet aspect correspond à celui d’un fragment de voûte ou de paroi détaché. Le revers du bloc présente les traces des phénomènes de corrosion et de calcification qui s'exercent (encore actuellement) au niveau du plafond pour aboutir au délitage de pans de strates.

 

(c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux

 

 

 

 

A / Photographies de l'ensemble des gravures.

 

Deux types de représentations, imbriquées et très différentes, s’imposent au premier examen ...

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 1

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 2-22d2015

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 3-22d2016

 

(c) Thierry Le Roux (c) Thierry Le Roux

 

 

 

 

B / Détail des tracés larges ( tête ? )

 

Un premier ensemble de traits, de 2 à 3 mm de largeur et 0,5 à 1 mm de profondeur, exécuté au moyen d’impacts coalescents ( tantôt nettement visibles, tantôt estompés voire "colmatés" mais décelables en éclairage rasant ) forme un contour suggérant un profil d’équidé (voire de cervidé ...), impression renforcée par la présence de deux petites cavités dont la plus haute, de forme arrondie, peut correspondre à l'emplacement d'un oeil.

Un tracé long de 270 mm descend ainsi du sommet du crâne jusqu’à la bouche, un dédoublement espacé de 6 à 7 mm et long de 160 mm créant un effet de perspective. La représentation d’un naseau semble tirer parti d’une protubérance de la roche, soulignée par deux courts tirets légèrement circonflexes. Une autre séquence d’impacts parallèles, longue de 45 mm, représente la bouche de l’animal. Un tracé incurvé remonte ensuite en direction de la gorge. Les cinq derniers centimètres mettent nettement en évidence une autre suite d’incisions juxtaposées transversales à l’axe du sillon, avec formation de petites cupules en butée de l’outil.

Le début de la gorge semble exploiter une concavité naturelle du rocher tandis qu’ à égale distance entre ce point et le haut de la tête existent une autre dépression ainsi qu'une sorte de structure orthogonale.

 

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 4-22d2010a

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 5-22d2010b

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 6-18d1922

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 7-21d1988

 

(c) Thierry Le Roux

Photo ad-26n1349

 

(c) Thierry Le Roux

Photo ad-26n1354

 

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 8-18d1919

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 9-14d1815

 

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 10-22d2019

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 11-18d1923

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 12-18d1912a

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 13-18d1912b

 

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 14-26n1344

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 15-26n1345

 

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 16-18d1900

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 17-18d1882

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 18-22d2016w

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 19-22d2016x

 

(c) Thierry Le Roux

Photo ad-26n1341

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 20-22d2050

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 21-18d1901

 

 

 

C / Détail des tracés fins ( triangles )

 

A l’intérieur de ce premier contour se détache clairement un ensemble de quatre structures triangulaires, l’une complète, les trois autres en partie effacées ou demeurées à l’état d’ébauches. Les traits, finement incisés, semblent obtenus par glissement et non par percussions successives.

Le triangle le plus net (et le plus complet) est pratiquement isocèle. La base (55mm) barre le profil présumé de tête présumée sur presque la moitié de sa largeur. Les deux côtés égaux, dont l'un se développe parallèlement au "front", mesurent chacun 60 mm. Un segment issu de l’angle du sommet (51°) rejoint un point du côté opposé pratiquement équidistant des deux autres angles (67° et 62°) : ce qui équivaut géométriquement au tracé d’une hauteur (55 mm) perpendiculaire à la base.

Vingt millimètres au dessus de cette base se succèdent quatre segments parallèles, espacés de 5 mm, reliant les deux autres cotés. Dans la zone inférieure droite du triangle s’insère une croix dont chaque extrémité coïncide avec un angle. L’autre espace trapézoïdal symétrique laissé libre à gauche de la « hauteur » est quant à lui marqué de trois traits parallèles obliques. Tangentiellement à la base du côté gauche de la hauteur et au fond d’une petite dépression se distingue une forme lenticulaire de 2 à 3 mm de diamètre. Un arrondi de taille similaire est délimité, juste sous la première barre transversale, par un trait reliant la hauteur du triangle à une branche de la croix.

En adossement à ce triangle « orné », comme en arrière plan, se dévoile un triangle de même nature, mais plus sommaire ou effacé. L’angle du sommet (env. 61°) constitue le point de départ de deux segments : celui de droite, arrêté par le côté gauche du triangle voisin, mesure 30 mm, l’autre côté, sensiblement convexe, parcourt 40 mm jusqu’au tracé large inférieur. Une base de 20 mm referme la figure. Ce second triangle est également divisé par une ligne médiane issue du sommet et affiche deux segments parallèles transversaux légèrement obliques ralliant les côtés opposés. On note qu'en raccordant les sommets de ces deux triangles accolés on obtiendrait un triangle parfaitement équilatéral de 25 mm de côté.

Une troisième structure triangulaire apparaît sur la gauche, composée de deux côtés longs de 35 et 25 mm encadrant un angle de 63°, toujours pourvu d’une médiane (30 mm). Deux transversales obliques rapidement interrompues s’inscrivent du côté gauche.

Enfin, l’ébauche d’un quatrième triangle se profile sous le "blason" le plus complet. Ne figurent que deux départs de côtés (15 mm et 45 mm) dont le plus long s'élance parallèlement au gros tracé inférieur. Et à nouveau, l’amorce d’une ligne médiane partageant un angle de 78° est conforme aux trois autres modèles.

 

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 22-22d2013

(c) Thierry Le Roux

Photo 23-22d2038

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 24-22d2047

 

(c) Thierry Le Roux

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(c) Thierry Le Roux

Photo 26-22d2021

 

(c) Thierry Le Roux

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(c) Thierry Le Roux

Photo 28-18d1860

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 30-18d1874

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 31-18d1886

 

(c) Thierry Le Roux

Photo 32-18d1865

 

 

CONCLUSION

Ce bloc gravé associe des tracés de facture archaïque et une figuration géométrique (enchaînement de triangles avec ornementation intérieure) caractérisée par sa finesse, sa complexité, sa régularité (formes, dimensions, disposition).

Une prise en considération globale des tracés les plus larges ( apparente similitude et simultanéité supposée de l'exécution ) conduit - sous toutes réserves - à y voir une représentation animalière. Mais ces traits ne constituent peut-être que les témoins fragmentaires et non lisibles d'une création plus étendue aujourd'hui détruite ou dispersée ...

A l'équilibre de l'agencement général ( orientation et limites des triangles par rapport au contour large ) s'opposent des tracés de nature (figurative =/= géométrique et symbolique) et de type ( "piqueté" =/= "tiré" ) différents, ce qui pose la question de leur contemporanéité, et le problème de l'interprétation et de la datation de cet ensemble ... ou de ses éléments séparés.



Thierry LE ROUX / Yves OLIVET - Décembre 2005.







Addenda ( ... & épilogue ) / 1er novembre 2006 :

Après une année de recherches, de contacts, de travaux, mais aussi d’attentes et de contretemps, nous avions enfin rendez-vous, le mercredi 11 octobre 2006, à l’Institut de Paléontologie Humaine de Paris …

En premier examen, les gravures sont attribuées au Magdalénien par un professeur au M.N.H.N. qui fait autorité dans le domaine de l’Art Préhistorique, en présence d'un chercheur spécialiste du Paléolithique régional.

Nous sommes heureux d’ « apporter notre pierre » à la connaissance de la préhistoire en Charente-Maritime, et de contribuer à la valorisation du petit musée archéologique du Château de la Roche-Courbon.

En effet, la présence de figures géométriques aussi élaborées sur une oeuvre ancienne de 15000 ans pose de bien passionnantes questions … Elles seront soulevées dans le cadre d'une étude et d'une publication menées conjointement par les "découvreurs" et les scientifiques.

 

 

Bibliographie sommaire


Préhistoire :

- DEBENATH A., 2006 - Néandertaliens et Cro-Magnons. Les temps glaciaires dans le bassin de la Charente. Ed. Le Croît vif.
- DEBENATH A., (1968) – Le Moustérien type « Quina » de la Vauzelle. Bulletin SPF LXV-1968/1.
- DEBENATH A., (1974) - Recherches sur les terrains quaternaires des Charentes et les industries qui leur sont associées. Thèse D.E. Université de Bordeaux I.
- COMBES E., (2005) - Les débuts de la préhistoire en Charente-Inférieure. Ed. Rumeur des âges.
- AIRVAUX J., (2001)- L’art préhistorique du Poitou-Charentes. Ed. La maison des roches.
- COMBES J. / collectif, (2001) – Histoire du Poitou et des Pays Charentais. Ed. De Borée.
- DELAGNES A. / collectif, (2001) - Paléolithique moyen dans le bassin de la Charente. Projet collectif de recherches.
- JOUSSEAUME R. / PAUTREAU J.-P., (1990) – La Préhistoire du Poitou.
- AUZANNEAU J.-M., (1980) – Sur les traces de nos ancêtres au Paléolithique. Insolite Poitou-Charentes n°1.
- SIMARD C., (1957) – Découverte archéologique de la France ( Le pays Charentais, berceau de la science de nos origines ). Ed. L.A.P.
- KELLER O., (2004) - Aux origines de la géométrie : le Paléolithique. Ed. Vuibert.
- LEROI-GOURHAN A., (1983)- Le fil du temps. Fayard.
- CANET L. / CLOUET M. (1933) - L'Aunis et la Saintonge des origines à la Guerre de Cent Ans. Ed. Pijollet.
- OLIVET Y., (2000 et 2003) - La Prise de l'Atelier, site néolithique du Peu Richardien. Rapport de sondage. Section Archéologie du Foyer Rural d'Arvert.


Spéléologie / hydrogéologie / géologie :

- LE ROUX T. , (1983 - 1987) – Grottes et gouffres en Charente-Maritime, tomes I & II.
- LE ROUX T. , (1998) – 36 itinéraires souterrains Saintongeais.
- LE ROUX T. , (2002) – Charente « Inférieure » : cavernes en Charente-Maritime. Cédérom (études, plans, photographies).
- OLIVET Y., (1990) - Flore des abris et entrées des cavernes. Ed. Groupe Spéléo Scientifique et Sportif.
- CAVERNES EN SAINTONGE ( site Internet ) : www.cavernes-saintonge.info
- BRGM, (1978) - Carte géologique de la France au 1/50 000 ème / St-Agnant XIV-31.
- DDAF 17, (1980) – Synthèse des recherches hydrogéologiques en Charente-Maritime.
- VACHER J.-P. (2002) -Situations hydrogéologiques en zones cotières ou de faible altitude. Rapport des Assises de l'Eau de Poitou-Charentes.
- CORLIEUX M. (1972) - Etude géologique abrégée de la Charente-Maritime. Annales de la Société des Sciences Naturelles de la Charente-Maritime.
- GUILLERMIN P. (1970) - Géologie de la Charente-Maritime. CNDP Poitiers.



 

(c) Thierry Le Roux

 

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(c) Charente INFERIEURE

 


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